La nouvelle mode du bureau sur mesure avec les bureaux opérés

Le secteur de l’immobilier est en constante évolution et cela ne concerne pas uniquement le marché résidentiel. En effet, l’immobilier de bureaux aussi connaît une métamorphose significative, notamment depuis la récente crise sanitaire qui a secoué le monde. Aujourd’hui, c’est un nouveau concept qui bouleverse ce marché qui, déjà, compte de nombreux fervents : le bureau opéré. Voici ce qu’il faut savoir concernant cette nouvelle tendance.

Bureau opéré : de quoi s’agit-il ?

Le bureau opéré est une forme d’organisation des locaux professionnels qui concilie la confidentialité du bureau privatif classique et l’adaptabilité du bureau partagé (coworking). Contrairement à la formule traditionnelle de location d’espaces de travail, laquelle impliquait la signature d’un bail commercial, louer ces nouveaux ‟bureaux flexibles” ne nécessite que la souscription à un contrat de prestation.

Qu’il soit question d’une très grande société ou une PME, un cadre de travail fonctionnel est l’une des clés pour atteindre de meilleures performances. Aujourd’hui, avec l’ubérisation du monde de l’emploi et la digitalisation des entreprises, le télétravail fait désormais partie intégrante de l’organisation de ces dernières.

C’est une situation qui pousse nombre parmi celles-ci à reconsidérer le modèle de structuration de leurs locaux. Cela se manifeste aujourd’hui par leur recherche accrue d’espaces de travail où le maître mot est la flexibilité. Les bureaux aménagés viennent donc répondre au besoin d’optimisation de surfaces de ces entreprises.

Comment fonctionne la location de bureaux opérés ?

La location de bureaux opérés est un service proposé par des sociétés, encore appelées opérateurs d’espaces indépendants, qui peuvent être soit propriétaires des locaux ou elles-mêmes locataires. Pour commencer, l’entreprise en quête de bureau contacte l’opérateur qui se charge de trouver un espace adapté à ses besoins (en termes de surface et/ou de poste).

Lorsque la société qui vend le service est propriétaire, il lui suffit de voir si elle possède dans ses actifs de quoi répondre aux exigences du preneur. Dans le cas contraire, celle-ci doit négocier un bail en son propre nom, ce qui implique que toutes les charges liées à l’espace lui incombent. Une fois un accord trouvé, des travaux sont entrepris afin d’aménager les locaux conformément aux attentes de l’entreprise cliente.

Comme évoqué précédemment, la location d’un flex office (l’autre appellation du bureau opéré) est encadrée par un contrat de prestation. L’entreprise qui y souscrit doit, de façon mensuelle, payer un loyer ou plutôt une facture unique qui inclut plusieurs services. Il s’agit, entre autres, de :

  • l’aménagement de l’espace et le mobilier ;
  • l’entretien et la maintenance des locaux ;
  • les équipements multimédias et le haut débit internet ;
  • les factures d’électricité, d’eau et frais d’assurance ;
  • les services de conciergerie et gestion de courriers.

Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive, ce qui justifie que cette solution clé en main suscite autant l’intérêt des grands groupes aujourd’hui.

Bureau opéré : qu’offre-t-il de mieux que le coworking ?

Les deux concepts se rejoignent un peu puisqu’à l’instar du coworking, le flex office garantit simplicité et souplesse contractuelle. Toutefois, le principal atout de ce dernier réside dans la confidentialité qu’il assure aux entreprises locataires. De fait, contrairement au coworking qui propose un cadre partagé entre plusieurs professionnels indépendants, le bureau opéré s’adresse davantage aux structures ou personnes morales.

Il s’agit donc d’une solution adaptée aux entreprises disposant d’équipes et souhaitant regrouper celles-ci autour d’un mouvement communautaire, tout en bénéficiant d’un espace de travail indépendant. C’est ce qui vaut à cette nouvelle mode du bureau sur mesure, le nom de coworking privatisé.

Le bio, le responsable et le bien-être sont au coeur des sujets pour les acteurs du secteur de la décoration

Le bio, le responsable et le bien-être sont au coeur des sujets pour les acteurs du secteur de la décoration et de la maison, interview de Julie FLITI, directrice de CONFIDENCES PROVENCE :

Bonjour Julie,

Pouvez- vous nous expliquer comment se passe la sortie de COVID pour artisan cirier ? sentez vous la reprise arriver ?
La reprise a eu lieu à partir de mai 2021, toute la période du confinement a été propice à l’élaboration de nouveaux projets et de nouvelles créations de marques, que ce soit pour les particuliers ou pour les entreprises. Alors lorsque nous sommes sortis de cette période, ils ont voulu les concrétiser rapidement et nous avons eu beaucoup de demandes et de commandes sur la fabrication de bougies sur-mesure.
Pour Confidences Provence, cela s’est ressenti dans le fait que les boutiques n’ont pas eu accès aux salons professionnels sur lesquels ils effectuaient leurs achats normalement et ont donc recherché par eux même des produits pour élargir leur gamme ou la renouveler en se positionnant sur le made in France puisque cette crise sanitaire a clairement modifié les actes d’achats avec une forte tendance pour les produits locaux et artisanaux.

Quelles sont les spécificités de vos produits et de CONFIDENCES PROVENCE ?
Nous faisons des produits que l’on aime qui représentent notre belle région provençale et surtout ce sont des articles de grande qualité.
Nombreux se lancent dans la fabrication de bougies en pensant que c’est facile mais l’élaboration d’une recette parfaite demande un vrai savoir-faire : de 2 à 3 ans de recherche et de création pour avoir l’accord olfactif parfait.

Faites vous des bougies sur mesure, comment procédez vous ?

Oui, nous faisons des bougies sur mesure avec un minimum de commande de 50 bougies par parfum.
Notre client a 3 possibilités :
soit il choisit dans notre catalogue son contenant, le type de cire, le type de mèche et le parfum puis il ajoute sa marque et son logo sur l’étiquetage.
soit nous l’accompagnons de A à Z dans la création de sa bougie : recherche du contenant, création d’un parfum exclusif en partenariat avec notre parfumeur de Grasse puis nous élaborons la recette. Le délai et le budget est cependant plus important pour ce choix de prestation.
soit on applique un cahier des charges déjà défini par le client, il n’y a plus qu’à travailler la recette et passer en production.

Késys annonce un partenariat stratégique

Grâce à ce partenariat solide avec Cegid, Kesys et ses consultants mettent leurs compétences à votre disposition pour définir les besoins, installer, paramétrer, déployer le logiciel Cegid SIRH / Paie et RH. Avec en sus la formation des collaborateurs pour une prise en main et une montée en compétences sur les logiciels Cegid.

« Avec sa plateforme 100% cloud, Cegid HR Ultimate apporte aux directions des ressources humaines des ETI toute la simplicité et la sécurité dont elles ont besoin dans la gestion de leur paie. Dans le contexte actuel, il est particulièrement important de savoir s’entourer d’un écosystème de partenaires de confiance qui apporte souplesse et réactivité aux client : c’est ce que nous avons décidé de faire en travaillant avec les partenaires qui nous rejoignent pour déployer Cegid HR Ultimate aujourd’hui », conclut Marc Bruzzo, directeur de la Business Unit HCM de Cegid.

Christophe Le Bris, Directeur Général Adjoint Kesys , nous parle du partenariat avec Cegid :

Kesys intégrant le programme de vente indirecte Cegid 2021 : Pourquoi ?

CLB : Cegid est un éditeur National , leader et reconnu dans les solutions de paie et RH pour MGE, Késys souhaitait depuis plusieurs années étoffer son offre de solutions dans ce domaine et cette cible.

Le partenariat avec Cegid : Quels bénéfices clients ?

CLB : Pour un client c’est de bénéficier de l’expertise et la proximité d’un partenaire comme Késys tout en ayant les garanties apportées par un éditeur leader sur son marché.

La solution Cegid HR Ultimate : qu’est ce qui vous a séduit ?

CLB : C’est une solution 100% SAAS , avec une large couverture fonctionnelle et métiers, construite aussi pour être intégrée par des partenaires tout en étant maintenue par l’éditeur au niveau infrastructure et le légal.

S’orienter vers Kesys : Quels avantages ?

CLB : Une structure à taille humaine apportant des services à la carte et un suivi individuel

Le mot de la fin :

CLB : Choisir la solution HR Ultimate avec Késys c’est la garantie de la réussite pour l’intégration de votre SI Paie / Rh, et d’un accompagnement de proximité en toute sérénité dans le temps.

Refuser une mission en informatique

Lors de sa première mission en ESN, le consultant informatique s’habitue à une mission proche de chez lui avec la plupart du temps un consultant senior pour l’accompagner. Mais les choses se compliquent dès la seconde mission : l’ingénieur se retrouve souvent loin de chez lui… Chat échaudé craint l’eau froide : le consultant informatique se méfie dès la troisième mission. Il envisage alors de refuser une mission en ESN

La pratique du coulage est à proscrire

Passé une expérience délicate, nombreux sont ceux qui s’amusent à « louper » l’entretien avec le client final en doutant de leur capacité technique ou en en « survalorisant » l’éloignement du lieu d’activité. Ces pratiques sont bien évidemment à proscrire y compris en l’absence de l’ingénieur d’affaires de l’ESN. Vous risquez le licenciement au cas ou le client s’offusquerait de cet entretien pour le moins surprenant.

Une alternative « légale »

Alors que faire pour éviter d’être baladé au bon gré de l’activité commerciale de votre ESN ? Faire tout simplement jouer la concurrence. En cas d’intercontrat, vous devez naviguer ci et là pour glâner toutes les propositions de missions. Tout est bon pour débusquer LA bonne mission : les offres d’emploi des sites spécialisés, les sites des ESN proches de chez vous, éventuellement les sites de recherches de mission,…

Le mieux est de jouer la transparence avec votre employeur. Votre employeur, parlons en : il n’a aucun intérêt à vous placer dans une mission qui ne vous conviendra pas. Certes il sera déçu de perdre mais il sera rassurer de vous savoir parti plutôt que de devoir vous payer alors que vous ne lui rapportez plus rien. Vous devez et vous pouvez négocier avec lui un préavis à 0 jours au cas ou vous trouviez une mission à l’extérieur.

Un statut plus flexible

Bien conscient que votre intérêt n’est pas d’être employé par une ESN dont le champs des missions est limité à l’activité commerciale de la dite ESN, vous n’aimez pas l’idée de changer d’employeur au gré de chaque mission un peu comme un travailleur intérimaire. Vous rêvez d’avoir votre propre équipe administrative et de proposer vos services ? C’est possible, cela s’appelle le portage salarial informatique. La structure de portage salarial facture vos prestations puis transforme les sommes facturées en fiche de paie.

Quel salaire en portage salarial ?

Le freelance informatique en portage salarial informatique gagne un salaire net d’environ 50% de ce qui est facturé. Attention cependant, le maintien de salaire pendant les congés et à la prime de précarité sont compris dans ce calcul. Pour comparer avec un salaire de consultant informatique classique, il faut déduire 10% de plus, soit 40% de ce qui est facturé.

Les croyances changent (et se recyclent) avec les générations

Très intéressant article que celui écrit par Francis Boyer, sur le blog Génération Y 2.0, animé par Benjamin Chaminade : Mots d’ordre de la culture Y. Au delà de l’angle « psycho-sociologisant », l’article montre que les réactions de la génération Y par rapport aux papy-boomers et à la génération X engendrent de nouvelles réactions avec d’autres contre-réactions.

L’auteur reprend les fameux « mots d’ordre » de l’Analyse Transactionnelle : sois fort, sois parfait, fais plaisir, dépêche-toi, fais des efforts. Il nous indique que les trois premiers facteurs de motivation personnelle — se montrer fort, cultiver la perfection, faire plaisir — sont ceux qui ont le plus été développés par les papy-boomers, dont pas mal regrettent maintenant de les avoir pris au premier degré, étant donné les résultats parfois décevant de leur fort investissement dans l’entreprise. Les deux derniers — se dépêcher, faire des efforts — sont ceux mis en avant par la génération X.

Il nous explique ensuite que la génération Y, ayant voulu éviter ces pièges psychologiques, a construit de nouvelles croyances : sois autonome, sois compétent, pense à toi, mais aussi pense aux autres. Et ces croyances ont aussi leur revers de la médaille ! On le voit dans certains comportements en société, l’autonomie de certains devient marginalisation. Pour d’autres, notamment en réseau (soirées dans la vie réelle ou plateformes de réseau dit « social »), l’égoïsme devient la norme, l’auto-promotion tient lieu de compétence et le mode coopératif devient de l’évitement de conflits, un frein à l’action ou à la décision.

Au fond, comme disait Lavoisier : “Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme” !!

Lire aussi “Inter-générationnel : avant tout, la question à traiter est hors de l’entreprise”, où je déplorais certains comportements rencontrés dans les réseaux dits « sociaux » qui se sont imposés progressivement à toutes les générations, [conduisant] à l’une de ces deux stratégies : “inonder, gaver et s’incruster” OU “prélever, pomper, et s’échapper” !! En réalité, ces comportements se retrouvent maintenant un peu chez toutes les générations, pour peu qu’elles soient connectées, donc pas forcément la génération Y.

Comment adresser la problématique avec le savoir-être du facilitateur ?

Jargonnons, jargonnons, il en restera toujours quelque chose ! Le linguiste qui sommeille en moi se révolte régulièrement contre le sabir envahissant partout dans les media, les colloques,… Une véritable « problématique », comme dirait l’autre !! Comment l’adresser ? C’est toute la question ! Peut-on la solutionner ? Je me marre …

C’est Jean-Loup Chiflet qui passe en revue un choix d’expressions et de mots parfaitement horripilants que nous employons tous un jour ou l’autre. Cet auteur vient de sortir un livre au titre provocateur « 99 mots et expressions à foutre à la poubelle« . Sur chaque nouvelle page, il nous cite des néologismes idiots, des anglicismes comme « senior », « booster », des expressions redondantes du style « moi personnellement », « au jour d’aujourd’hui », sans oublier l’inoubliable « T’es où? » depuis nos téléphones mobiles.

Et il commente l’utilisation de ces mots ou expressions : dans quelles circonstances, pourquoi, dans quel vide linguistique ou existentiel se trouvent les locuteurs ! Une page qui me plait bien : celle qui parle de « problématique ». Extrait : La différence entre problème et problématique ? Elles est de taille, si on en croit notre bon vieux Robert : la problématique « prête à discussion », le problème est « une question à résoudre qui prête à discussion ». Nuance ! vaste débat ! … La problématique c’est surtout la conséquence de ce goût affiné pour les mots de quatre syllabes (ou plus), tellement chics qu’ils vous confèrent un savoir que vous ignorez posséder. Comme l’opportunité parée de vertus dont l’occasion est dépourvue, la problématique éblouit et relègue le problème & aux oubliettes.

Dommage qu’il n’y ait pas aussi « savoir-être » ou « facilitateur » (facili-tâteur !? -tâteuse !?), mais on pourra relire mes coups de gueule à ce sujet !

La langue française est encore en usage, même sur le web !

Qu’est devenue la loi Toubon ? L’article 1 de la Loi de 1994 disait : « Langue de la République en vertu de la Constitution, la langue française est un élément fondamental de la personnalité et du patrimoine de la France. Elle est la langue de l’enseignement, du travail, des échanges et des services publics. Elle est le lien privilégié des États constituant la communauté de la francophonie« 

 

On peut légitimement se poser la question, quand on écoute et lit de nombreux journalistes ! Exemples entendus ce week-end sur 3 radios :

 
– sur Europe 1 : « les pilules bleues jouent le rôle de facilitateur de l’érection (sic !)« . Pas étonnant, puisque ce mot qui sent l’anglais à plein nez vient visiblement du verbe « to facilitate », qui n’a jamais été traduit par « facili… tater » à mon sens ! Ou, en l’occurrence « facili… tâter » !?
 
– sur BFM : le « cradle to cradle (C2C)« , le « fixing » à la Bourse, la « problématique » du développement durable. Au lieu de jargonner à tout va — ce qui devient vraiment problématique — la radio BFM ferait mieux de clarifier, simplifier, rendre compréhensible les questions qu’elle traite. Pour cela, il faudrait se régénérer (ce que signifie « cradle to cradle* » = du berceau au berceau, ou comment développer des produits éco-responsables, renouvelables) avant que la fixation du prix des publicités soit en baisse, suite à une évasion des auditeurs !
 
– sur RTL, au Grand Jury : Christine Lagarde « on est sur un trend haussier« . Elle n’est pas journaliste, mais ministre, tendance bureaucratique étatique nettement en hausse.
 
Au milieu de ces accros à notre langue, on est surpris de constater que des bloggueurs savent encore écrire. Devrais-je m’en étonner d’ailleurs ? Car, le blog est le lieu de l’écrit avant tout, et il vaut mieux écrire correctement pour se faire comprendre.

La nul(l)’s pub pour le Boy’s Book : mais, qui parle encore français ?

On entendait ces jours-ci une pub radio pour le « Boy’s Book » édité par Larousse, pour les cadeaux de fin d’année. Il y a aussi le « Girl’s Book » ! Au ton employé par la voix, je me demandais si ce message publicitaire n’était pas un gag !? Ou un « teaser » (aguicheur en bon français) !? Eh bien, non, c’est dans la vie réelle, comme on dit. Ce n’est qu’un des nombreux exemples du glissement vers une langue floue, informe, métissée.

Chez les consultants, ou chez les clients, on entend aussi beaucoup de mots ou d’expressions qui sonnent comme une inflation ou une invention de spécialistes qui jargonnent. Je me suis amusé à vérifier quelques mots qui veulent snober, alors qu’il sonnent parfois assez creux.

La « problématique » est employée à tort et à travers pour désigner tout simplement les « problèmes » auxquels on est confrontés ou les « questions » qui se posent ou sont à traiter. En tous cas, l’immense majorité des locuteurs ne l’emploie pas dans le sens de l’ensemble des questions posées par un sujet précis, avec pour synonyme « questionnement ».

« Implémenter« , qui est l’action de programmer une fonction particulière, est un verbe purement informatique. Or, il est très souvent utilisé à la place de « mettre en place » ou « mettre en œuvre« . « Facilitateur » est dans la bouche de tant de personnes qu’on oublie qu’il est parfaitement abusif, car — comme le dit Wikipedia — il est directement traduit de l’anglais ‘facilitator ». En bon français, on facilite le travail, la réflexion, l’échange, la créativité, etc. La personne qui anime, régule, facilite ce processus est donc simplement un « faciliteur ». Le verbe est « faciliter » et non « FACILITATER » (!!), comme l’anglais « to facilitate ».

On pourrait multiplier les exemples à l’infini… mais je m’arrête là ! Peut-on faire un effort pour parler français ?

Concluons par une note d’humour involontaire de nos amis informaticiens : en cherchant le mot « upgrader« , sabir de la communauté pour simplement dire « mettre à jour« , je tombe sur ce site du Jargon Français, qui liste quelques mots en TIQUE et NIQUE, dont l’auteur s’appelle Roland Trique !! Pas étonnant que les TIC nous niquent !!??